Thérapie brève et systémique
Votre psychothérapeuthe, Anne Rudisulhi, vous accueille à Ventabren, à proximité d’Aix-en-Provence, d’Eguilles, de Velaux et de Coudoux, dans le département des Bouches-du-Rhône (13).
Qu’est-ce que la thérapie brève et systémique ?
L’approche de la thérapie brève se veut résolument pragmatique. Elle se focalise sur les difficultés vécues au quotidien car comprendre l’origine de nos problèmes ne permet pas de les résoudre et de se sentir mieux dans sa vie de tous les jours.
Mon approche se veut non normative, non jugeante. Le patient n’est pas regardé, étiqueté, comme « malade » mais comme une personne qui souffre.
Cette approche repose sur l’importance des interactions entre la personne et son environnement, son entourage ou elle-même.
Par la suite, le patient est amené à faire des expériences concrètes de changement dans sa vie de tous les jours afin d’apaiser ses souffrances.
Enrichie des apports de l’hypnose ericksonienne, des thérapies systémiques et des derniers développements en matière de communication (neurosciences, constructivisme social, thérapies orientées vers la solution, thérapies narratives), la « thérapie brève de Palo Alto » offre une gamme de moyens d’action thérapeutiques ayant fait leurs preuves pour le soulagement des difficultés personnelles, relationnelles et familiales.
Qu’est-ce que l’école de Palo Alto ?
Fondé à Palo Alto, en Californie, en 1959, c’est une organisation non commerciale indépendante vouée à la recherche et à la formation.
Ses divers projets couvrent une vaste gamme de préoccupations, par exemple, identifier et mesurer les différentes structures de comportements familiaux, la clarification des liens entre les structures interactionnelles familiales et l’apparition des troubles physiques ou mentaux et le développement et l’évaluation de techniques thérapeutiques novatrices.
L’inspiration à la base de la fondation du MRI provient du travail effectué, au début des années 50, par l’équipe de recherche de Gregory Bateson. Don D. Jackson prend alors la direction de ces chercheurs intéressés par la communication humaine et ses effets au sein des familles.
La jeune équipe du MRI des premières années comporte des noms aussi prestigieux que Jay Haley, Jules Riskin, Virginia Satir, Paul Watzlawick, John Weakland ou Dick Fisch .
Le succès fulgurant du jeune MRI est dû à la théorie révolutionnaire – hypothèse de la double contrainte – sur les origines de la schizophrénie.
Cette théorie est à l’origine des premières réflexions sur la thérapie familiale et a permis le développement de nouvelles formes de thérapie, en particulier le modèle systémique et stratégique enseigné aujourd’hui à l’IGB.